Le Hyundai Tucson réalise la performance d’être parfaitement hybridé avec 230 ch et surtout de contrer la majorité des critiques envers les SUV dans un style de vie à l’américaine.
Le Hyundai Tucson, à l’américaine !
Ma première et dernière rencontre avec Hyundai se faisait lors d’une invitation à Bayonne pour essayer le Bayon. J’avais souhaité/espéré découvrir le Tucson à Tucson en Arizona. Bon, comme Hoonited ne réalise pas (encore) des scores d’audience à la Turbo avec 1 million de (télé)spectateurs par semaine, je me suis rendu à la Garenne-Colombes dans les Hauts-de-Seine pour découvrir le beau SUV coréen. [Je garde espoir de visiter Hawaï en Kona.]
Le Bayon porte le nom d’une ville européenne pour bien l’identifier sur le marché du vieux continent. Logique marketing pertinente. Le Tucson se nomme en référence à la ville arizonienne et il me fait penser régulièrement au nouveau continent. Forcément, dans un premier temps par son gabarit imposant tant visuellement que réellement : 4,51 m de longueur et un @vtyok de largeur soit 1,87 m. Ensuite par la multitude de sons émis à chaque action. Vous voyez, enfin, vous l’entendez dans les séries américaines, souvent policières, où le héros rentre et sort de sa voiture, démarre et se stoppe, toujours accompagné par des petites sonneries ou légers bips ; c’est pareil dans le Tucson. Cela participe à cet imaginaire collectif des road-trips dans les grandes plaines vers l’ouest.
Jour de Fête
Pour filer la métaphore cinéphile, au volant du Tucson, j’entends Jacques Tati crier « à l’américaine, à l’américaine » sur son vélo. Pour son premier film, « Jour de Fête », Tati se donne le rôle d’un facteur qui découvre la pratique de son métier de l’autre côté de l’Atlantique via un cinéma ambulant, lors d’une fête au village, et décide de réaliser sa tournée quotidienne en s’inspirant des Américains. Il fonce avec son vélo et balance les journaux/courriers devant la porte des maisons en hurlant « à l’américaine, à l’américaine ». Avec ce gros SUV et mon accoudoir centrale composé d’un double porte-gobelets, il ne me manquait qu’un café Starbucks (Dunkin Donuts et McDonald’s pour le CSA) et un chapeau de cow-boy !
Ces salauds de SUV
A chaque essai de SUV, on y revient. Et à chaque essai, je ne me fatigue pas, je vous renvoie vers la référence des articles à ce sujet : celui de @lestagiaire qui a acheté un SUV. Cette fois, je vais essayer tout de même de répondre aux critiques habituelles car le Tucson fait bonne figure dans cette catégorie. Déjà, sa catégorie, c’est SUV compacts. Il n’a évidemment rien de compact mais faut bien le classer avec ces autres copains. De plus, les noms des termes automobiles donnent à voir du grand n’importe quoi selon les époques et les tendances. Ici, on apprend qu’un Coupé n’est pas un Coupé. A partir de là, laissons tomber la théorie et constatons la pratique.
Le Hyundai Tucson, un SUV sans les défauts des SUV
Grâce à un Twitto mal léché, nous avons toutes les remontrances envers les SUV en 280 caractères. Dès lors, on va les discuter une à une.
« Petit kiki, grosse voiture »
Ce précepte peut s’appliquer à toutes les situations de la vie pour combler des carences ou des complexes. On n’évoquera pas ici l’intimité des acheteurs de SUV mais plutôt le portefeuille des acheteuses. En effet, en moyenne selon les modèles, les clients des SUV sont pour moitié des clientes. A ce sujet, l’article de Jean-Michel Normand (avec qui j’avais partagé le volant de l’Aygo X, cible privilégiée aussi pour la jante gente féminine) vous donnera des pistes de réflexion sur les représentations dans le choix de sa voiture. Avec notamment la possibilité pour les femmes d’être aussi débiles que les hommes en arguant : « moi aussi, j’ai une grosse bagnole ! ». L’automobile devenant objet de réussite sociale.
« Gros et moche »
Si les goûts (et les couleurs) sont propres à chacun, objectivement, la taille de l’engin correspond bien à la désapprobation de certains quant à son usage. Etre seul à son volant alimente légitimement les propos des écologistes/vélotaffeurs sur l’absurdité des SUV. Toutefois, être seul dans ce Tucson, comme je l’étais pour me rendre au travail avec les sempiternels bouchons, donne vraiment une impression d’être moins engoncé dans une boîte à chaussures métallique. Cela donne aussi une plus grande liberté avec sa hauteur majoritairement au-dessus de la moyenne du trafic (autre film de Tati) et gomme la sensation d’être prisonnier de la densité urbaine. A cela s’ajoute le confort de l’hybride, on y reviendra plus tard.
Le style du Hyundai Tucson
Revenons au style du Tucson. Il me plaît beaucoup. Hyundai se vante de produire des modèles esthétiquement différents les uns des autres. Ils peuvent le faire car c’est bien la réalité. Contrairement à l’exemple caricaturale d’Audi, de l’A1 à l’A8 qui se ressemblent toutes de l’avant et de l’arrière, ici, chez Hyundai, les disparités règnent. Dans un monde automobile uniformisé, c’est appréciable de profiter de variations marquées.
Ce Tucson devient ma seconde Hyundai préférée derrière l’intouchable Ioniq 5 avec son style de grosse Golf futuriste. Le Tucson s’affirme en version N Line grâce à sa calandre noire laquée dans sa partie haute qui phagocyte pertinemment les feux. Ceux-ci apparaissent particulièrement travaillés dès leur mise en action. Les feux de route dissociés donnent l’impression de projecteurs supplémentaires. Seule la lame d’en-dessous semble d’une faible qualité plastique. Le capot bombé renforce l’idée de robustesse avec déjà des lignes saillantes. Ces mêmes lignes qu’on retrouve sur tout le flanc du véhicule à la mode des Japonaises.
Les passages de roues presque rectangulaires augmentent l’impression d’un SUV collé à la route avec des jantes originales et réussies de 19 pouces reproduisant un shuriken en action. Enfin l’arrière, dans la même veine que le reste avec une ligne de toit fuyante pour assoir une représentation sportive vers des feux à la mode Peugeot avec des griffes de félins. Pour finir, une peinture métallisée « Sunset Red » qu’on peut traduite par « rouge coucher du soleil » qui varie effectivement avec la lumière du jour. Plus il fait beau, plus c’est brillant et éclatant, plus il fait moche, plus c’est sombre et profond. A cela s’ajoute l’option qui va bien à 550 € pour avoir le toit contrasté ainsi que les rétroviseurs en « Dark Knight ». On ne traduira pas puisque tout le monde a vu le Batman de Nolan. J’avais annoncé qu’il me plaisait beaucoup.
« Trop lourd et trop haut »
Le Hyundai Tucson pèse 1 564 kg. C’est moins que le Peugeot 3008 ou le Ford Kuga. C’est plus lourd que la i30 Fastback. D’accord. Pourtant, ce n’est aucunement le ressenti à son volant. Grâce à sa parfaite motorisation hybride, on s’élance sans aucune difficulté. De plus, avec des freins bien proportionnés et un bon ressenti sur la pédale, on s’arrête aussi facilement. On dégommera certainement plus lourdement un piéton ou un cycliste, vu le bestiaux. D’accord. On va se dire que nous sommes des conducteurs prudents et attentifs à notre environnement. Pour autant, la hauteur modifie les sensations de conduite. Faut pas s’imaginer piloter une Lotus Elise S1 à ras du sol.
En ville, y a comme un réflexe de s’approcher physiquement d’une extrémité du Tucson pour voir si ça passe quand les voies se resserrent. A mon sens, un manque d’habitude de conduire ce genre de véhicule. Idem pour se garer. Avec les grandes portières et les petites places de stationnement, on peut faire avancer ou reculer le Tucson via la clé. Une nouvelle fois, on roule dans un SUV à l’américaine. Le pays où tout est haut, tout est gros. Même les conducteurs.
« Faible habitabilité et confort dégradé »
C’est peut-être là où le Hyundai Tucson déjoue le mieux les commentaires négatifs. Une habitabilité gigantesque ! Que ce soit pour les places à l’avant, à l’arrière et même dans le coffre de 616 litres. L’ensemble participe au confort général dans l’habitacle avec notamment des sièges agréables pour l’assise quotidienne et les longs trajets. Ils se règlent électriquement avec une multitude de positions (et aussi un rappel de commandes sur le flanc gauche du siège passager), dont un renfort pour les lombaires, et la possibilité d’enregistrer deux réglages. Le genre de technologie que j’apprécie surtout quand on partage la conduite sur la route des vacances. Reste juste à modifier les rétroviseurs à chaque changement de conducteurs. A cela s’ajoute que le siège se recule à l’ouverture de la portière et se rapproche au démarrage du moteur. A l’américaine.
Autre technologie que j’apprécie énormément, le volant et les sièges chauffants et surtout les sièges ventilés ! Ce bonheur simple d’avoir de l’air frais dans le trou de balle vers son échine et son séant. Cela me sied parfaitement. Merci à la météo de m’avoir permis de tester ce chaud/froid durant ma semaine d’essai. Même les passagers à l’arrière peuvent bénéficier des sièges chauffants ainsi que des rideaux pare-soleil efficaces. Ils auront aussi de la place avec des dossiers qui s’inclinent manuellement. Un @vytok d’1m87 pourra voyager avec une grande casquette sans problème.
Les suspensions du Hyundai Tucson
Le Bayon a des suspensions trop raides pour le quotidien et le Santa Fe trop molles pour l’autoroute. Hey bien, le Tucson réalise le parfait compromis ! C’est confortable dans toutes les situations. C’est comme il faut, tout le temps. Sûrement ma plus grande surprise. Hyundai sait produire des bons châssis. Probablement le savoir-faire avec son propre acier. Le bât blesse dans les réglages des suspensions. Je me disais que j’aurais affaire à un mini-Santa Fe bruyant et rebondissant. C’est tout le contraire et c’est surprenant ! Quasiment aucun roulis ! Jamais il ne tangue, frère ! Pourtant, là encore, vu la hauteur du machin, on pourrait s’attendre à un paquebot allant de droite à gauche ou inversement à la moindre courbe. Il n’a pas été poussé dans ses ultimes retranchements mais même en conduite sportive avec de l’angle dans le volant, c’est sécurisant et performant. Tout comme le freinage.
Enfin des (petits) défauts du Hyundai Tucson
Comme à chaque essai, je me focalise sur l’ensemble des sons produits ou émis ainsi que les bruits parasites. Une insonorisation réussie malgré quelques bruits d’air à 130 km/h liés à des portières manquant probablement de calfeutrement. Allez, on y arrive enfin ! « Mais quoi ? Il n’a aucun défaut ce Tucson hybride ?! Si c’est pour faire du publireportage, non merci ! » Je vous entends d’ici, lecteurs exigeants d’Hoonited. Les portières ! Il faut les claquer comme une brutasse pour les fermer correctement ! A contrario d’un ensemble qui peut s’utiliser en délicatesse. Sans inertie suffisante, la porte se ferme à moitié. C’est valable pour les quatre portes. Le coffre trouve la solution en se fermant électroniquement. Alors dit comme ça, ce n’est pas bien méchant. C’est juste agaçant.
Les sons pour chaque action
Pendant que j’y suis, je continue avec l’autre défaut du Tuscon. Les sons pour chaque action. Attention, certains se modulent et d’autres non. Déjà à l’allumage du véhicule, t’as l’impression d’avoir un régiment de cavalerie dans l’habitacle. Promis, on va bientôt parler du moteur et de ses 230 chevaux. Pour cette petite musique, je n’ai pas trouvé comment la couper. Malgré le temps pris pour aller dans les menus afin de tout comprendre et de tout désélectionner. A l’américaine. Le son ensuite du hayon, comme un camion qui recule (comment veux-tu ?) et d’après @lestagiaire, c’est réglementaire.
Autre son oppressant, à l’arrêt, quand le véhicule devant s’éloigne, un message s’affiche. On se croirait à Paris se faisant klaxonner quand on ne démarre pas dans le millième de seconde à un feu vert (Midas et Norauto pour le CSA). On retrouve les mêmes défauts que dans la Honda-e. Notamment sur les angles morts. Des avertissements utiles pour la sécurité qui n’accompagnent paradoxalement pas le conducteur dans la tranquillité.
Un autre son pertinent pour l’écoconduite mais relou à l’usage. Celui qui indique l’intérêt de relâcher la pédale d’accélérateur pour bénéficier de la roue libre. Je l’ai coupé. J’ai mis 3 jours à comprendre d’où il venait avec un affichage bien trop furtif sur le tableau de bord. De toute façon, la parfaite hybridation donne envie de rouler paisiblement en levant le pied.
La parfaite hybridation du Hyundai Tucson
Enfin une hybridation efficiente ! Mon premier essai d’un hybride fut malheureux. Le Renault Captur E-Tech avec son moteur thermique hurlant dès la moindre réelle accélération et une boîte à crapaud crabots digne d’une CVT (ou presque). Le second avec la Peugeot 508 SW PSE apporta plus de satisfaction. Celui du Tucson finira par me convaincre sur la pertinence de cette technologie. (Les autres modèles essayés sont des micro-hybridations et ne rentrent clairement pas dans la catégorie des véhicules évoqués ici). Le passage entre l’électrique et le moteur thermique se fait extrêmement discrètement au point qu’il faut souvent regarder son compteur pour visualiser ou non le logo « EV » indiquant qu’on roule aux électrons. Les forces s’alternant ou se cumulant offrent un résultat convaincant par rapport aux autres testés. Encore faut-il lui donner les moyens de s’exprimer. Ici, avec 230 ch dont 180 uniquement en thermique, c’est la puissance idéale.
Des grandes qualités du Hyundai Tucson
Alors forcément, comme c’est un SUV, c’est plus lourd qu’une berline. Donc forcément, faut plus de puissance. Le serpent qui se mord la queue. Avec cette fois-ci, un serpent suffisamment proportionné pour permettre un agrément de conduite plaisant à tout moment. Hyundai ne s’emmerde pas avec les traditionnels trois modes de conduite : éco, normal et sport. Ils font sauter le mode normal pour commencer directement en mode éco. Genre, c’est une hybride donc c’est pour économiser du carburant. Je vous rassure immédiatement, le mode éco suffit largement au quotidien. Par contre, c’est toujours rigolo de passer en mode sport via la petite excroissance tombant bien sous la main pour voir ses compteurs passer en rouge et son couple se déployer.
Avec 350 Nm, ce n’est pas une GR Supra (500 Nm) mais c’est bien au-dessus des congénères. La boîte automatique à 6 rapports participe au parfait fonctionnement de l’hybridation. On regrettera juste l’absence d’affichage des vitesses sur le compteur sauf à passer en mode manuel avec les palettes au volant.
« Ça consomme un max avec ses énormes pneus »
Effectivement, le Tucson se pare d’énormes pneus 255/50 et finalement de jantes relativement modestes en 19 pouces. Loin d’être l’idéal pour limiter la résistance à l’air et donc diminuer les consommations. Hyundai ne pouvait pas non plus contrecarrer tous les écueils. Ça ne sert à rien des gros pneus et une garde au sol relevé ? Majoritairement, non. Pour se promener dans les champs/bois pendant que le loup n’y est pas, si. J’étais content de faire mes photos avec des passages caillouteux et boueux avec ce type de véhicule. Attention, ce n’est pas un 4×4. Il existe avec 4 roues motrices et il s’appelle Tucson Plug-in 265 HTRAC. Moi, il s’appelle Tucson Hybride 230.
La technologie qui s’adapte le mieux à mon usage. N’ayant pas de borne à domicile, je ne pourrais pas utiliser commodément un hybride rechargeable. Aussi, ce Hyundai Tuscon hybride (simple ou full, comme vous voulez) me permet d’établir une consommation de 6,6 l en 530 km avec des parcours variés. C’est beaucoup pour un hybride ? C’est surtout peu pour un gros machin de 230 bourrins et une habitabilité à l’américaine !
Les aides à la conduite en Hyundai Tucson
Si on met de côté les sons réguliers, une merveille ces aides à la conduite dont le régulateur adaptatif. C’est simple, il monte sur la première marche du podium de tous ceux essayés. Il s’enclenche par un unique bouton sur le volant et fait le boulot admirablement bien. Surtout quand la voiture qu’il suit, ralentit. Le Tucson freine plus progressivement que les autres expérimentés. Il reprend le rythme aussi aisément même si on accélère quelques temps. Parfois, il repère les panneaux de limitation de vitesse et s’adapte à celles-ci.
Les nombreuses caméras dont la vue 360° permettent de manœuvrer et de se garer pour ne pas abîmer les belles jantes.
L’alerte de franchissement de ligne reste discret et se coupe directement au volant en restant appuyé sur un bouton. Bien plus rapide que de se rendre dans les multiples menus. Par contre, comme pour tous les véhicules, il faudra recommencer l’opération à chaque redémarrage.
Autre technologie efficace, la caméra pour les angles morts à chaque impulsion des clignotants. Un affichage dans le compteur de vitesse ou le compte-tour parfaitement informatif (excepté quand il pleut fortement).
Cependant, le Tucson peut aussi biper quand il repère un piéton ou un obstacle sur le trottoir. On ne compte pas leur foncer dessus mais on doit arriver trop vite dans le virage à son goût. Cela arrive aussi dans une courbe sur l’autoroute avec un véhicule à l’arrêt. Il préfère passer pour un con plutôt de se faire reprocher son manque de sécurité active.
La vie à bord du Hyundai Tucson
Comme indiqué précédent, on se sent bien dans ce Tucson. C’est calme et plaisant. Il ne manque que le toit panoramique (possible en option) pour apporter plus de luminosité. Les compteurs sont lisibles et donnent les informations nécessaires rapidement. Des gros boutons ergonomiques remplacent le levier de vitesses. Seul le tableau de bord en noir laqué ne me convient pas pleinement. Il donne une sensation de moyenne gamme comme quelques plastiques sur les portes. Décidemment, ces portes. Pour le reste, la climatisation avec des boutons tactiles arrive à être réglable brièvement.
Des bizarreries du mode automatique avec trois niveaux (faible, moyen, fort) pour une même température et de la radio qui se coupe si on passe sur Android Auto. En effet, l’accès se fait par le bouton « média ». Pour éviter cela, j’ai personnalisé le bouton « étoile » en raccourci pour bénéficier de Google Maps tout en ayant ma station favorite avec un son d’excellente qualité. Tout ça reste bien anecdotique. Surtout qu’il existe un bouton mute sur le volant auquel je tiens tant.
Le prix du Hyundai Tucson en conclusion
Avec son prix de 46 500 €, lourd lui aussi, vous en aurez pour votre argent. Avec sa parfaite technologie hybride et ses 230 ch et malgré un gabarit de SUV imposant et quelques défauts mineurs ; le Hyundai Tucson se relève être une bagnole extrêmement pertinente pour les longs trajets ainsi que pour le quotidien des banlieues pavillonnaires, à l’américaine.
Toutes les photos du Hyundai Tucson
Les belles photos de pro sont réalisées par @lestagiaire, comme d’habitude.